Antikay

Nom: Gamcha
Prénom: Antikay
Âge: 22 ans
Nindô: Acquérir tout les jutsu pour son village. Protéger son pays natal.
Village: Kumo
Rang : Raikage
Sensei: /
Élèves:/
Clan: Gamcha
Équipe ou coéquipiers:

Caractéristique du Ninja:
-Intelligence: 110
-Vitesse: 120
-force: 100
-Défense: 208

Points de chakra: 250
Points de vies: 250
Affinitée: Suiton, Katon, Kumton, Raiton, Chiton

Physique:

Antikay n'est pas très musclé. Bien proportionné et très grand. Les traits de son visages sont durs ne laissant rarement apparaitre une émotion. Des cicatrices recouvrent la partie gauche de son visage jusqu’à son nez. Une grimace mauvaise laissant paraître des dents jaunes lui sert de bouche. Ses yeux sont jaunes éclatant et font encore plus paraître son regard froid et sans émotion. Personne ne pourrait imaginer que cette personne puisse faire preuve d’une quelconque gentillesse. La partie droite de son minois est recouverte par une tignasse d’épais cheveux blonds qui cache une artère rouge particulièrement dérangeante qui entoure son oeil. Ses sourcils sont étonnement fin et bien épilé pour la bouffure de sa pilosité.

Ses cheveux, comme dit plutôt sont excessivement longs. Pas par soucis de coquetterie, mais plutôt par utilité. Le Raikage est tellement habile qu’il peut sans problème arrêter un shiruken qu’avec une mèche. Il est très fier de cette toison doré, dans laquelle, si l’on regarde de plus près se trouve toujours de nombreux filet de sang visqueux qui reste sur place, attendant le moment idéal pour attaquer l’ennemi. La chevelure retombe sur ses épaules pour finir dans le milieu de son dos.

Son corps est très svelte, il est loin d’être anorexique, mais pas plus près d’être à son poids santé. Des épaules carrées forment une silhouette triangulaire qui semble très athlétique. Ses bras sont de taille normal et finissent par des mains velues et griffus. Ses serres écaillées d’une couleur brune terre sont tranchantes et il ne s’en sert qu’en dernier recourt, lorsque sa lance et ses senbons se font manquant. Des ongles semblable recouvre ses orteils mais il se les coupe, ayant jugé qu’il était très inconfortable de courir avec des tiges de cartilage qui s’encrait dans le sol à chaque pas. Son corps, contrairement à son corps et presque glabre. Une remarque que l’ont fait au fur et à mesure qu’on le côtois, ses veines ne sont pas bleues mais rouges, et elles bougent constamment, comme des tentacules vermillonnes sous sa peau.

Antikay porte deux costumes, soit sa toge traditionnelle de Raikage jaune et blanche qu’il ne met que lorsqu’il est obligé, bien qu’il en retire une énorme fierté, presque vaniteuse à la portée, ou ses vêtements normaux. Il s’agit d’un énorme foulard en tissu ocre qui fait plusieurs fois le tour de son cou pour se terminer en un poncho qui lui couvre les épaules. Lors que ses combats, il rajoute le brassard noir et blanc de son village. Il porte son bandeau sur son bras, mais on peut retrouver le signe du pays des éclaires sur ses protège-mains et sa ceinture. Ses pantalons sont en cuir rouge serré. Il porte des sandales traditionnelle de ninja de couleur terre.

Psychologique:

Antikay est très sévère. Ses punitions sont toujours salés ou assaisonnées de douce ironie seulement pour le plaisir de se moquer des pauvres victimes. Il déteste que l’on conteste son autorité et ne tolère aucune forme de d’indiscipline. Il porte beaucoup d’importance aux règles qui pour lui, sont la base de toute choses. La plus détestable expérience pour lui est de subir quelque chose d’imprévu et de fâcheux. La simple idée que quelque chose d’imprévisible vienne déranger ses plans lui fait grincer des dents. N’empêche qu’il reste un combattant à l’esprit bouillonnant d’idées et de distraction au grand déplaisir de ses adversaires. La lecture importe une grande place dans sa vie. Il peut omettre de travailler pendant des journées entières seulement pour lire un bouquin, ce qui frustre ses subalternes puisque le Raikage est sûrement un des lecteurs les plus lents de son village. Peu osent le déranger lors de la lecture d’un de ses ouvrages par peur de ses prendre un baffe. Pas parce qu’il ne sait pas lire, plutôt le contraire. Il dévore si vite les pages qu’il est obligé de le relire pour comprendre ce qu’il a manqué. Ce qui le fait lire un même roman trois, quatre et même cinq fois pour en comprendre le contenus. Pour lui, le livre le plus intéressant est souvent le plus épais, et non rare sont le fois où le jeune homme ignore d’examiner le contenu d’un document que parce qu’il n’y a qu’une page de contenu. Le chocolat, a toujours été et reste sa plus grande passion. Le shinobi a même acheter une machine à chocolat pour subvenir à ses besoins croissants de sucreries. Il n’est pas rare qu’on le voit dans sa cuisine en train de faire du chocolat, une vile grimace planant sur son visage même si c’est une des activités qui lui plaît le plus.

Comme tout ninjas le combat est une partie importante de sa vie. Bien que exceptionnellement habile dans cet art, il reste assez non violent. Il recherche à éviter les bains de sangs par l’ordre et l’obéissance à son égard. Lorsque cela est impossible et que le combat est inévitable Antikay n’en est pas triste pour autant. C’est avec grande joie que le Gamcha se jettera dans une mêlée pour anéantir tout ce qui ne lui prête pas fidélité ou pacifisme. Le seul moment ou le Raikage instiguera un combat c’est si son village ou un de ses shinobis est menacé.

//Balises pour quand j'aurai assez de temps à perdre!//

Dans un landau, un enfant pleurait, un nouveau-né plutôt. Le duvet pâle sur son crâne laisser entrevoir qu’il serait blond, comme l’homme qui se tenait à coté de lui. Cet homme, c’était son père. Un homme fort et puissant, mais très vieux. Malgré son apparence d’un cinquantenaire, il approchait de la centaine. On disait que cet homme était croisé avec un chat, ce pourquoi il ne vieillissait pas car, avez vous déjà vue un chat avoir l’air vieux? Ses cheveux était extrêmement long et d’un blanc vif. Ses habits étaient riches, mais malgré tout l’argent qu’il pouvait posséder, il ne pouvait qu’attendre pour aider son enfant.

Le père et le fils venait d’un clan étrange, dont les shinobis qui le composait avait la capacité d’utiliser leur sang pour le combat. Cette information était connue seulement par les membres du clan et autre ninjas très haut-placé, car tout ceux qui avait déjà vue ce pouvoir avait vue leur mort en même temps. Ce pouvoir apportait plusieurs problèmes. Le premier étant le reclus de toute la famille, et le second étant la naissance. Effectivement, c’est à la naissance que l’enfant est le plus proche de la mort. Son pouvoir prend un certain temps avant de s’installer. Cette période est souvent fatale car le sang déforme le corps du poupon jusqu’à le faire exploser. Pour éviter à l’enfant de mourir, un des parents doit poser un sceau sur l’omoplate droite du bébé qui devait stopper le pouvoir jusqu’à ce qu’il sot capable de le prendre. Mais des fois, la marque prenait du temps à agir, ce qui montrait que l’enfant maîtriserait très bien le pouvoir. C’était le cas du bébé à tête blonde.

Les déformations semblaient s’arrêter tranquillement. Une fois de temps en temps, l’enfant était secoué par un spasme douloureux et recommençait ses pleurs mais le père réussissait à le soulager en passant une mains lumineuse par dessus lui. Enfin, après quelques heures de larmes incessante, le poupon sourit pour la première fois. Perdre cette douleur était un tel soulagement qu’il faisait sourire avant l’âge. Le père aussi était soulagé. Il aurait voulu appeler la mère, mais celle-ci était tombé inconsciente après avoir sortit l’enfant de son ventre. Au lieu il appela la grande sœur du bébé.

Une grande femme au cheveux auburn entra dans la pièce éclairé de chandelle. Elle s’exclama de surprise en voyant la petite tête au duvet blond dans la couchette. Elle en tomba immédiatement amoureuse. Elle se retourna vers son paternel.

-Comment comptez-vous l’appeler?

-Ta mère avait pensé Antikay, comme celui qui nous a jadis sauvé. Tu t’en souviens, Anzu?

La jeune femme sourit en se retournant vers le poupon. Elle le souleva et le soutint dans les airs.

-Gamcha Antikay? C’est pas moche… Ça sonne plutôt bien même! Alors tu crois que c’est lui?

-D’après le temps que ça lui a pris avant de repoussé le chiseichuu… Il maîtrisera si bien son sang que presque tout ses jutsus seront basés sur son pouvoir. Mais nous allons le laisser se débrouiller sans un petit moment, vois si il a l’étoffe de son père.

Anzu approuva d’un signe de tête en rapprochant le bébé pour le serrer contre sa poitrine. La vie à quatre se présentait bien pour le moment.

*
* *


Quelques années passèrent tranquillement. L’enfant à la tête blonde était adorable. Toujours là, à attendre pour rendre service. Il était très pacifiste et peu orienté vers le combat, ce qui semait la confusion dans l’esprit de ses parents et de sa sœur. Le garçon était destiné à être un combattant exceptionnel. Alors le père décida de l’initié à l’art ninja. Il lui expliqua le nindô, les différents sorte de jutsu et la géographie du monde. Il lui montrait souvent le pays où il avait vue le jour et où ils vivaient : Kaminari no Kuni. L’enfant souriait toujours lorsque son père mentionnait le nom de sa contré. Comme si il en riait ou qu’il l’aimait beaucoup. Le jeune garçon exigea à son père de lui montrer l’art ninja. Son père le rendit encore plus heureux quand il lui proposa à apprendre de se battre.

C’est ainsi que l’entraînement commença. Le père montra a son fils comment maîtriser son chakra, énergie du ninja. Le garçon ne semblait pas très bon dans cette matière. ‘’Pas étonnant’’ pensait le père. Une partie de sa puissance avait disparue avec son pouvoir sanguin, alors il lui faudrait trimer dur pour devenir bon. Mais l’enfant manquait de persévérance. Voyant que ça ne se faisait pas facilement, il préférait aller voir Anzu dès que son père avait le dos tourner pour se faire dorloter. Mais l’homme qui l’éduquait ne perdait jamais patience et finissait par le faire revenir à ses exercices.

À force de s’entraîner, l’enfant devenait de plus en plus fort. Mais le père lui, sentait la vieillesse le rejoindre. Il décida alors d’envoyer son enfant à l’académie ninja pour que des chuunins d’expériences s’occupent de lui. Sa sœur refusait de l’entraîner de peur de le blesser. Elle l’aimait tellement, son petit frère!

L’entrée à l’académie avait été un changement brutal dans le style de vie d’Antikay. Personne pour s’occuper de lui et rien que de lui. Les garçons étaient méchants et il était incapable de parler au fille. Mais au moins, son sensei lui, était gentil avec lui. Il lui donnait souvent du chocolat pour le réveiller. Il ne se doutait pas que cette habitude allait rester à tout jamais dans la vie de l’enfant impressionnable. N’empêche que le chocolat l’aider à s’entraîner durant des heures sans arrêts. Il s’écroulait vers neuf heures et son professeur venait le porter chez lui où il se réveillait quinze minutes plus tard pour manger. Rien ne semblerait jamais secouer cette routine.

Mais un jour, le père dit à son fils que quelque chose de très important allait arrivé pour lui. L’homme au cheveux blanc amena l’enfant jusqu’à l’arêne car il avait de l’espace. Il prévoyait redonner à son fils le pouvoir du Chiseichuu et ainsi lui redonner de son talent. Au moment ou il demanda à Antikay d’enlever son chandail, deux hommes apparurent . Dès qu’il les vit, le paternel plaça son fils derrière lui et empoigna sa lance. Les deux hommes revendiquaient le droit d’escorter le dénommé ‘’Gamcha Jengara’’. Apparemment, c’était le nom du père. Les deux nouveaux-venus étaient des oinins de Ta no Kuni. Le jeune garçon était surpris car il n’avait jamais entendu parler de ce pays. Ça ne devait pas être gros.

-Gamcha Jengara, nous t’obligeons à nous rejoindre. Sur ordre du grand maître. Ta famille nous a déjà rejoint, et non sans mal.

-Que leur avez-vous fait? Démon!

L’autre ninja sourit. Sa bouche avait des dents pointues, démesurément grande. Cela ne sembla pas vraiment impressionner le père, mais pour Antikay, ça se relevait être un cauchemar. Il pensa à sa sœur et à sa mère. Il s’avait que son père était fort, mais leur ennemis avait l’avantage du nombre. Le jeune garçon souhaitait aider l’homme qui l’élevait, et dans son innocence, il se jeta sur l’adversaire. Celui ne lui porta aucun regard et le fit dégagé de sa vue d’un solide coup de poing. L’enfant tomba sans connaissance. La dernière chose qu’il vit était la silhouette de son père et un immense éclat rouge.

Du sang, s’inquiéta-t-il.

*
* *


À son réveil, le garçon était dans un lit d’hôpital. Il chercha son tuteur des yeux, mais il ne se trouvait nul part. L’étudiant essaya de l’appeler, mais ce ne fut qu’un infirmière qui vint le voir. Il demanda où se trouvait son père. La femme eu la difficile tâche de lui dire que son père avait disparue. Comme le reste de sa famille. Il n’avait plus de place où vivre. Si il aurait voulu, le garçon aurait dit aux autorités que sont père était enlever, mais étrangement, il ne le fit pas. Il avait au fond de lui, un désir d’apprendre par lui même insatiable. Il voulait apprendre de ses erreurs et non de celle des autres. Mais malgré tout, il était triste. Plus personne ne l’écouterait, ne le soulagerait, ne le nourrirait. Mais à ce problème, l’infirmière avait une solution. Elle lui appris qu’une famille cherchait un enfant à élever. Les rêves de solitude du jeunes Gamcha s’évanouirent à cette nouvelle.

Le garçon partit le soir même chez sa nouvelle famille. En fait, ce n’était qu’un couple. Ils ne pouvaient pas avoir d’enfant car la femme était stérile. Les deux adultes s’avéraient très permissif avec Antikay. Ils le laissaient aller où il voulait dans le cartier et il avait tout le sous-sol de la maison pour lui seul. Ce qui l’arrangeait lorsqu’il s’entraînait à maîtriser son chakra. À chaque soir, Il monte en haut, mange et discute avec le couple. Ils parlent de tout et de rien. Parfois des ninja, d’autre fois du prix du sake, mais jamais de lui. C’est comme si les deux adultes voulaient seulement avoir plus d’action dans la maison pas un enfant.

Un jour, un deuxième enfant arriva dans la maison. C’était une petite fille, du même âge qu’Antikay lorsqu’il était arriver. Le garçon alla voir les deux adultes qui l’hébergeait.

-C’est qui elle?

L’homme prit la parole en premier.

-C’est un peu comme t’a nouvelle petite sœur!

-Elle n’a plus de parents elle non plus?

La femme répondit.

-Non… Le Raikage, voyant que nous faisions que nous faisions du bon travail avec toi, nous a proposé de nous envoyer d’autre enfant à condition qu’ils deviennent ninja. Nous avons accepté avec grand plaisir. Maintenant, nous serons un famille encore plus grande!

Antikay haussa les épaules avec indifférence. Il tourna le dos et descendit en bas. En haut des escaliers, il entendit la femme lui dire.

-Au fait, elle va vivre au sous-sol avec toi!

Le garçon s’hérissa. Il n’avait jamais été très à l’aise avec les filles à l’académie, mais là c’était pire, elle vivrait avec lui. L’enfant savait qu’il ne serait pas capable de se concentrer dans un environnement plus féminin. Il devrait trouver un nouvel endroit où il pourrait rester seul pour sa méditation.

Après quelque jours de recherche, il trouva juste à la sortie de la ville, une butte sur laquelle un arbre poussait. Ce lieux était entouré de montagne, c’était comme un plateau coupé du monde. Antikay décida de s’entraîner là. Même après avoir passé genin, il continue à y venir, pour se couper de son sensei et de ses coéquipiers qu’il trouvait ennuyeux.

Un jour, alors qu’il s’entraînait. Deux homme vinrent le voir. Il les reconnus sur le coup. C’était les deux oinins qui avaient kidnappé sa famille. Le genin empoigna sa lance et la pointa sur ses adversaires. Mais les deux shinobis restèrent de glace. Tout ce qu’il voulait, c’était donner un message à Antikay de la part de son père.. Dans la note, Jengara disait qu’il devait le rencontrer dans Ta no kuni pour lui donner des pouvoirs. Le jeune Gamcha prépara un plan pour s’y rendre et parti dans les jours qui suivirent.

*
**

Le jour venait de se lever sur le paysage étrange où se trouvait Antikay. La frontière de Ta no kuni et kaminari no kuni. Au nord se trouvait un plateau montagneux et au sud, des rizières magnifiques à perte de vue. Le genin suivait un chemin couramment emprunté. Si il se ferait prendre, ça serait moins louche de passé par la route plutôt que par la forêt, enfin si on se rendait d'abord compte de son absence. C'était une journée de congé pour lui et il n'avait rien prévue avec ses amis. On penserait qu'il serait sûrement encore endormie avec ses écouteurs sur les oreilles, comme d'habitude. En fait, Antikay n'avait même pas dormit. à vingt-trois heures, quand le village commençait à descendre la garde, Antikay s'était esquivé par les montagnes et avait descendu la route pour arrivé à un village du pays des rizières et interroger des habitants sur l'emplacement d'Otogakure. Le genin de Kumo était bien conscient des risques qu'il prenait en vannant là. Autant par les ninjas ennemis que par les oinins de Kumo. Si il venait à ce qu'il se fasse prendre, il n'aurait d'autre choix que de se suicidé. Cette idée ne le réjouissait guère, sa mort devait être après qu'il devienne Juunin.

Antikay soupira, un pas de plus et il serait officiellement dans le pays du riz. Il avança. L'air ne sembla pas différente. Le climat était un peu plus sec, bien que les arbres étaient plus présent qu'à Kumo. Le genin contempla les plateaux qui se surmontait les un les autres avec émerveillement. Ce pays était beaucoup plus beau qu'il ne l'aurait imaginé. Il faisait soleil ici. Pas comme dans son village où il faisait toujours nuageux. Le soleil frappait sa peau peu protégé sans mercie. Ses yeux non-habitués à cette forte luminosité laissèrent tombés des gouttes cristallines. Antikay se protégea avec ses bras pour mieux regarder devant lui. Le chemin était zigzagant et les flaques boueuses qui formait les rizières plus fréquente. Un mauvais pas et il serait trempé et sale jusqu'à la moelle. Le ninja frissonna. Il s'était donné un mal fou à se coiffé mieux que d'habitude avant de se présenté à sa famille qu'il connaissait si peu. Sa soeur serait fier de lui si elle le verrait.

Un petit point apparue au loin. Un village peut-être? Ou une personne! L'idée que se soit un ninja le fit frémir. D'un geste professionnel Antikay retira le bandeau de son village et mit son équipement de ninja dans son sac. Habillé ainsi, il se ferait sûrement prendre pour un marginal un peu dingos mais pas pour un ninja d'un village ennemie. Le point ne bougeait pas. Mauvais signe ou bon? Antikay s'en moquait. Un seul soupçon et il serait mort. Alors qu'il arrivait à proximité, le genin enfonça dans ses oreilles son lecteur mp3 et fit mine d'être absorbée par sa musique. S'il se ferait prendre, il pourrait toujours semer l’ennemie avec une illusion. Non mauvaise idée. Si ils se rendaient compte qu'il maîtrisait un genjutsu. tout les ninja de la région serait à ses trousse et alors bonjours les ennuies. Antikay tenta de se calmer. Rien ne montrait qu'il était un shinobi. S'était peut-être qu'un simple passant qui transportait une urne de riz.

D'un pas pressé, il passa à coté de l'homme. S'était bel et bien un ninja. Mais quelque chose tracassait Antikay. Ses joues étaient orné d'un symbole étrange. Le même que sa lance. Sa lance! Il l'avait totalement oubliée. Une arme aussi massive n'était pas très subtile quand on veux se faire passé pour un civil. Le genin tourna la tête nerveusement en éteignant son lecteur mp3. Le ninja le regardait d'un air ahurit. Antikay lui rendit son regard avec la même expression. Les tatouages qu'il portait sur les joues était pareil que ceux qu'Antikay portait sous les oreilles. De plus il était armée d'une lance d'un plus petit format. Le ninja devant lui était un Gamcha! Le genin de Kumo fut le premier à parler.

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IV