Mûgen |> Yeah let us In! <| In Under <3

Invité

{_ Identité générale :

• { Ils ne cessaient de lui demander « pourquoi fais-tu cela?

Nom : Atsura
Prénom : Mutsumi

« Oh doux patronyme! Doux prénom! Destiné à une jeune femme qui l'est moins. Froide? C'est une longue histoire. »
Surnoms : Elle se présente comme étant Mûgen. Rien d'autre.
Sexe : Psychopathe féminine.
Âge : 23 meurtres, mon avocat
Clan: Atsura. Entièrement décimé par un membre de la famille de la belle qui a préféré se suicider plutôt que de se livrer aux autorités.
Nindo: "Elle fut mon seul vice. Je suis sa seule attache à la vie"

Village: l'Akatsuki n'est point un village. (Désertrice d'Oto) |玉, Gyoku, l'Orbe (également dit "La Sphère") , pouce gauche|
Rang désiré: Juunin

Sensei: Vous y croyez?
Equipe: (à définir)
Elèves: L'individualisme solitaire.

{_ Have you said 'Shinobi'? :

Caractéristiques:

Intelligence: 85
Vitesse: 45
Force: 55
Défense: 55

Total: 240

Points de vie: 200
Points de chakra: 200

Affinité: Katon | Suiton

{_ Fate little paper. :

Mûgen |> Yeah let us In! <| In Under <3 090106100449959460

{__Et Roméo perdit Juliette

Rien qu'à la voir, photographiée et imprimée, dans le Bingo Book, on constate un regard fuyant. Un regard dont la couleur vous laisse perplexe, vous incite à observer avec plus de soin ce visage sublime, teinté d'une concupiscence évidente. Déjà, vous regardez d'un air circonspect le décor qui entoure la jeune femme; parfois flouté volontairement, d'autres fois au contraire mis en évidence, vous ne pouvez vous empêchez de remarquer que les photos sont toutes prises dans des endroits sombres, des ruelles, désertées de monde. Ce détail d'acquis, vous vous concentrez sur le visage, première chose que la populace regarde chez quelqu'un. Le regard premièrement. Les yeux. Ses yeux sont en amandes, couleur chocolat très prononcé, et, certaines interactions avec la Lune et le Soleil, les rendent rouges pourpre; mais cela ne reste qu'une simple illusion; aucune lueur assassine n'est passée dans les yeux de cette enfant apathique. Ensuite, vient la fine peau entourant ces joyaux purs; ses paupières, légèrement cernées de gris, car Mutsumi est, pour ainsi dire, constamment fatiguée. Ancrés dans ceux-ci, ses cils, qui ont extrêmement longs, comme la majorité des femmes. Les gens sont tellement absorbés par son regard que le reste n'a- pour ainsi dire- plus d'importance. C'est juste que l'intensité se fait plus forte, en présence de cette étoile lumineuse. Ensuite, la chevelure. Vous retenez un hoquet admiratif. Votre copine en serait jalouse. Longs, extrêmement raides et fins, ils sont noirs de jais. Le noir de ses cheveux vient accentuer ses yeux, et, comme, par chance, sa peau est extraordinairement pâle, tout chez elle est illuminé. Vous n'avez pas l'impression d'observer la photo d'un des membres d'une des plus détestables organisation- vous en venez même à regretter que cette succube se soit ancrée à ce point dans le mal, la violence et l'horreur. Dans ce visage froid, rien n'est plus expressif que son regard, car chez Mutsumi, tout est de glace, sauf ce dernier, qui, malgré elle, fait passer des émotions qu'elle cache si bien. Cherchez, plongez dans cette immensité chocolatée, et vous y trouverez peut-être un vile sentiment qu'elle essaie vainement de vous cacher. Il lui arrive parfois d'être absente, même si je l'ai dit, son regard révèle toutes les facettes cachées. Après le regard, viennent les lèvres. Pulpeuses. Peut-être trop. Il y a une chose que je trouve essentielle de préciser: Mutsumi sourit rarement, voir jamais. Personne n'a jamais entendu la douce mélodie s'apparentant à des clochettes sortir au delà de ses lèvres. Pas de rires, rares sont les sourires. Or, quand son interlocuteur à l'honneur d'en voir un apparaître sur son visage- sourire, qui, d'ailleurs, est toujours sincère: pour exprimer l'ironie, ou même le sarcasme, elle utilise un autre système-, il a l'extraordinaire sensation de l'avoir empli d'un sentiment de joie. Car, à par admirer cette succube magnifique, que pouvez-vous faire? Tel que celui l'Akatsuki, qui peut s'apparenter comme sa raison de vivre. Elle ne reste et effectue ses missions que par simple respect pour … (prénom rayé avec violence). Revenons à l'apparence physique de la Belle. Son sourire pourrait être décrit de long en large, premièrement sa froideur, sa supériorité. Il faut également que je précise que la jeune femme ne le le fait pas exprès. Elle a toujours regardé les gens de haut. Malheureusement, ce sourire fugace s'évapore trop vite. Vous n'avez pas encore eu le temps d'en saisir la beauté et la profondeur, que déjà elle revête de nouveau son masque froid. Jamais ne viennent teinter ce regard si simple des 'étoiles' d'admiration, ou quoi de plus fantaisiste. L'on suit le cours de son visage pour arriver au menton, fin et discret, semble ne pas vouloir se faire remarquer, sans pour autant être fuyant. Fines et droites, viennent les épaules de la jeune femme, le cou n'a pas besoin d'être décrit, tant il présente une normalité affligeante sauf peut-être une taille de plus que la normale, les épaules, disais-je donc, épaules qui nous donnent une irascible envie d'étreindre la succube. Mais son regard vous dissuade avant même que la pensée soit passée dans votre tête. Ne vous méprenez point; ce n'est ni un regard empli de condescendance ni même de haine qui vous est lancé là; une simple œillade, un simple coup d'œil qui vous fait frissonner tant il est parfaitement désintéressé et absent; on aurait dit que la jeune femme devant vous à constamment l'esprit ailleurs. Peut-être est-ce un aspect peu conventionnel de la personnalité de Mutsumi qu'ils ont trouvé inutile de mentionner? Peu vous importe. Vous chassez cette pensée et continuez à vous intéresser à son apparence. Un sourire mesquin teint votre visage. Les questions existentielles viendront plus tard, assurément. De son apparence « globale », Mutsumi est élancée; un mètre soixante-quinze, une taille parfaitement honorable.

« Mutsumi? Franchement, je sais pas. Tantôt, on peut la trouver ténébreuse et glaciale, tantôt limite gentille. Son caractère j'en sais rien, mais physiquement du moins, j'remarque qu'on arrive facilement, avec le temps, à trouver ce que quelqu'un dégage. Même pas dans ses sourires, ni son visage, ni même dans ses yeux.. C'est quelque chose de plus profond. Mais bon j'suis pas expert en la matière, me faite pas chier avec ça, je veux pas vous raconter des cracks pour ensuite être emmerdé avec elle. 'Puis j'aime pas parler dans le dos des autres... Tout ce que je peux vous dire- et tout le monde vous l'confirmera, c'est que cette nana-là, elle est spéciale. Comme si.. Elle ne cherchait pas à vivre. Pou'tant, j'vous assure, elle aurait les gens à ses pieds, cette fille. Les gens à ses pieds... »

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{__Elle n'aimait que ces futiles choses interdites..

UC |Post réservé pour le caractère|

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{__These fucking little stories.

Introduction

« Gloire, ô Gloire, tu nous illumines par ta force »

« -Je ne veux pas que cette idiote rentre chez moi! »

Crachais-je d'une voix hargneuse. Comment cette fille à osé entrer chez moi? Il faut tout de suite que Koïchi la fasse déguerpir d'ici, je déteste les faux-cul. (Koïchi est mon domestique, si vous n'avez pas compris) Je lance un regard accusateur à ma mère qui tente de calmer la situation en éconduisant la fillette qui a les larmes aux yeux. Parfait, je l'ai vexée. Un sourire méprisant hante mon visage. C'est seulement quand je la vois franchir les gigantesques portes dorées de notre maison que je m'autorise à rire très fort, bien que mon rire s'apparente plus à un gloussement, je me sens fière de moi. C'est vrai quoi! Je ne suis pas obligée d'accueillir une fille que je n'aime pas dans ma chambre et rire avec elle alors que la seule envie qui me prendra sera de la gifler. Oui, comme vous voyez, je suis très selecte en ce qui concerne mes amies, et papa à toujours vanté cette qualité qu'il trouve très encourageante pour ma future vie de Kunoichi. Quant à ma mère, elle me dit que cela est dans mon caractère, et que je me laisserai pas faire par le monde difficile (à croire que ma mère donne plus d'importance aux valeurs de la vie qu'à celles de l'argent et du pouvoir.. je crois qu'elle n'a pas été bâtie sur le même modèle que mon père, qui me ressemble beaucoup sur ce point, bref..). Au fait, j'oubliais de vous préciser, je m'appelle Mutsumi Atsura, j'ai neuf ans et je suis actuellement scolarisée dans l'académie ninja d'Oto, et -il va sans dire- que je suis une des meilleures élèves de mon niveau.

« -Mutsumi, cette petite ne t'a rien fait, elle voulait juste avoir des renseignements sur.. »

Oh non! Elle ne va pas s'y mettre aussi! Je grognais quelque chose d'inintelligible tout en l'intimant de se taire grâce à mon regard glacial. Je crois qu'elle l'a compris et m'a regardé pendant quelque instants, la pupille insipide, se dirigeant vers la cuisine pour préparer le repas du jour. Je monte l'immense escalier de marbre vers ma chambre. Le bâtiment est tout ce qu'il y a de plus luxueux évidemment, je n'ai malheureusement pas le temps de m'attarder sur l'architecture et claque magistralement la porte de ma chambre pour faire sentir à ma mère la colère qui m'anime en cet instant. C'est elle-même qui a éconduit cette idiote et maintenant elle se pose des questions?

Pour tenter de me calmer, je m'assois par terre et fais des exercices de respiration. Ces derniers temps, je remarque que mon pouls à la manie de s'accélérer vite, beaucoup trop vite, et ça me rends soucieuse, parce que ce n'est généralement pour un rien. Mais qu'importe, puisque personne ne doit être au courant de ces problèmes intérieurs, certes minimes, qui m'animent, et je dois faire semblant que tout va bien. C'est avec le sourire aux lèvres que j'entends la sonnette de l'immense porte d'entrée, signe de l'arrivée de mon père de son travail d'ANBU. Enfin quelqu'un qui allait me comprendre dans cette baraque! Une personne autre que cet insipide domestique et ma mère, ma mère, dont je ne reconnaissais plus les desseins. Faire de moi une jeune fille à son image ou rendre sa fille apte à se battre? Je sens que mon cœur commence à battre normalement, et je me sens intuitivement bien, comme s'il n'a fallut que la présence de mon père pour me rendre heureuse. Et je ne pouvais m'empêcher d'avouer que c'était vrai. Ma mère me rends mal à l'aise, et il faut que j'en touche deux mots au paternel, histoire qu'il comprenne qu'il faille expliquer à ma mère, qu'à moi, on ne me cédait rien.

« -Papaaaaaaaaaaa! »
M'écriais-je quelques secondes plus tard, un grand sourire aux lèvres, sautant dans les bras de mon géniteur. Effectivement, il fallait bien que j'aie des traits de comportements d'une fille de neuf ans, tout de même! Et voilà mon père qui m'accueille, un immense sourire aux lèvres, heureux de retrouver sa fille adorée. Cela dit, la pensée d'être fille unique me réconforta en cet instant précis. Je ne supporterais pas que quelqu'un vienne empiéter sur mon territoire et celui de mon père.

Ce dernier, d'ailleurs, qui m'a tout appris. A six ans, je commençais à savoir comment malaxer mon charka et à manier un kunaï adroitement.. plein d'autres choses. Mais bon, je n'ai pas vraiment le temps de vous expliquer tout en détail, déjà que je commence à tout raconter à mon père, et voilà qu'il m'écoute, les yeux rivés sur moi comme si j'étais le plus cadeau que l'existence pouvait lui faire. Intérieurement, je jubile. L'impression d'être aimée très fort, comme ça, c'est pas donné à tout le monde.

« …Et là, Papa, crois-moi, Maman à commencé à défendre cette imbécile! Je n'ai rien dit, parce qu'être impolie, c'est pas bien, surtout avec Maman, mais je te jure que je n'ai pas compris pourquoi elle a réagi comme ça! Après tout, c'est elle qui a mis cette cruche dehors, non? »

Ma voix se fait plus douce qu'au début, comme si je ne voulais pas enticher mon père avec ces stupidités.. qu'il fallait tout de même résoudre. Personne ne devait entrer dans mon cercle d'intimité. Per-sonne. Je devais partir du principe que tout le monde était détestable, tout le monde haïssable, aucun humain n'avait le droit de n'avoir ne serait-ce que le quart de ma compassion. D'ailleurs, le terme de fermée convient plus que selecte. Je n'ai pas encore trouvé de personne qui pourrait ne serait-ce que me convaincre, tant les gens sont futiles, désintéressés, et brutaux. J'ai besoin de finesse.

« Tu sais, ma petite fille adorée, en parlant de Maman.. elle et moi avons une nouvelle d'une grande importance à t'annoncer. C'est ça, là, assis-toi, mon bébé. »

Il continuait à me sourire d'un sourire stupide et niais qui aurait bien convaincu la petite fille du prétendu âge que j'avais. En fait, j'étais bien plus mature qu'ils ne le pensaient. J'obtempérais, avide de savoir ce qui se passait, sans trop être en colère. Mes parents n'étaient pas du genre à me prévenir des choses vingt plombes après les avoir faites, il aimaient bien cette confiance dans notre relation, qui, pour eux, avait l'illusion d'être mutuelle. Mais je me savais tant égocentrique que cette réalité n'allait que dans un sens, cependant que j'arrivais à les convaincre avec mes mimiques, mes paroles, et mes 'preuves affectives'. Je n'aimais que moi, pour sûr. Je baladais mes yeux sur le visage de mon père, et le sentit respirer profondément, puis je fis abstraction de moi-même, sachant qu'il allait parler d'une millième de seconde à l'autre.

« -Maman et moi allons avoir un bébé, dans quelques mois. »

Et là, ce fut le drame.

Invité

Interlude;
« Baby Pop, Floky Pluc »
|> 'Elle était cette toute petite chose noire et sombre, destinée à se faire vivre par ce sentiment tordu.'

« -Alors?
-Rien.. Sauf.. ce journal intime. Il a l'air de ne tourner qu'autour d'elle. Il paraît que la gamine qui la écrit est morte quelques années plus tard.. »

Le shinobi s'interrompit quelque instants, l'air de fixer le vide de manière absente, presque comique, avec ses lunettes cerclées de fer. Il semblait d'un de ces ninjas d'éternel jeunesse, n'ayant consacré sa vie qu'à ses entraînements, son apprentissage. Il se tourna avec dramatisme vers son collègue, lui adressant une œillade qui se dissuadait de mots; il allait dire quelque chose d'important.

« -Elle s'appelait Kotaru, elle est morte à l'âge de treize ans et.. »

La phrase tomba, et pendant quelques minutes, le silence se fit. Son collègue ferma les yeux. Mutsumi Atsura dite Mûgen, membre de l'Akatsuki. Qu'avait-elle fait?

« -..en réalité, c'était sa sœur. »

Cette assertion enfonça les deux hommes dans un silence beaucoup plus profond, si c'était seulement possible. Un de ces lourds silences, qui vous bloque toute autre envie imperceptible de ne piper mot.

« -Je m'occupe de lire, ou tu préfères le faire?
-Fais donc »

A la prononciation de ces mots l'homme réprima un long frisson. Il ne voulait pas lire les cris de détresse de la gamine, tant l'horreur même qui émanait du carnet était déjà effrayante. Le livre était dans un état quasi lamentable; déchiré à plusieurs endroits, la couverture faisait peine à voir. Elle était de couleur violette, tendance indigo. Son collègue, lui, rempli d'une obtuse sensation d'optimisme, se dit que les horreurs subies par la petite Kotaru ne pouvaient être si horribles, quand bien même il avait affaire au journal de la cadette d'un criminel de rang S. Et puis, le journal ne pouvait forcément que commencer bien. C'était impossible autrement; sinon que Mutsumi ait poussé l'horreur à l'extrême, et l'ait obligé à décrire la monstruosité qu'elle lui avait fait subir- elle se faisait prendre pour masochiste, donc. Ou sinon, c'était un banal cadeau des parents de la petite, destiné à la base à contenir des petites banalités d'enfants- premiers cours à l'académie, premières amitiés, premiers amours, premières disputes- rien de bien intéressant. Il ouvrit donc le carnet, fébrile, tandis que son collègue prétexta une urgence ailleurs et s'en alla.

Tout en jetant un regard vers la porte qui se refermait, le ninja eut un sourire. Son camarade était trop froussard pour rester avec lui. Bof. Ça ne pouvait pas être si dramatique. En attendant que Kotaru soit en âge d'écrire, de lire, et de comprendre, il fallait bien une dizaine d'années- tout en sachant que les Atsura étaient réputés pour leur désirs d'érudition- il estima le premier jet d'écriture commencé aux dix ans de la petite. Ils avaient déjà récoltés pas mal d'informations; la mort des parents de Mutsumi- de tout le clan, d'ailleurs- et les dix ans de Kotaru étaient à peu près survenus en même temps- étrangement- et le calvaire de la petite avait commencé à ce moment-là.

La première page était trop simple pour être suspecte. Un simple mot y était écrit, en gros caractères; « Journal ». L'homme tergiversa encore quelques instants, puis plongea dans sa lecture. Il remarqua que l'écriture était soigné, bien qu'impersonnelle, elle n'avait pas encore défini sa véritable 'plume'.

12 Septembre,

Cher journal,
Mon entrée en la matière est classique, mais je n'ai pas vraiment trouvé comment faire plus original. On s'en fiche. Je m'appelle Kotaru Atsura, je viens de fêter mes dix ans! Mes parents ont été fiers de moi, et m'ont offert ce journal.. enfin toi. Je ne vois pas pourquoi je devrais te vouvoyer, après tout tu vas bientôt connaître toute ma vie! Et moi ça me fait super plaisir, d'enfin avoir quelqu'un à qui confier ce qui me chagrine. Premièrement j'ai deux parents qui m'aiment beaucoup, une grande sœur, mais pour elle c'est compliqué.. et.. à la maison, nous avons un domestique.. tu sais, à chaque fois que je le vois, je ne peux m'empêcher de rougir, et je sens mon cœur qui bat très fort. Mutsumi Oneesan me dit que c'est un sentiment qu'on appelle l'amour. Mais moi je veux pas! Et puis je savais déjà tout ça elle ne m'a rien appris. Pas que je veuille me vanter, mais j'ai déjà ressenti quelque chose comme ça pour Papa, ou même Maman, mais c'était.. différent. Oui, c'est le mot. Parce que quand je les vois, je n'ai pas cette étrange chaleur qui me parcoure le ventre. Trop bizarre !! Surtout que je sens mon visage m'enflammer comme pas possible. Enfin, pour revenir à... à.. oh cher journal! Je n'arrive pas écrire son prénom, déjà que j'ai des palpitations! C'est pas normal de ressentir quelque chose comme ça pour quelqu'un de plus âgé que soi. Je n'ai pas osé demander son âge à E. (je vais l'appeler comme ça, crois-moi, c'est plus simple), parce que Mutsumi m'a dit que c'était pas poli. D'ailleurs, j'ai vraiment l'impression qu'elle ne m'aime pas, Mutsumi Oneesan. En fait, elle est beaucoup plus âgée que moi. Elle a dix-neuf ans.. et elle est.. très belle. Non, magnifique. Quand je la regarde, je ressens un peu les mêmes trucs qu'avec E., sauf qu'encore, c'est.. pas pareil. C'est normal de ressentir des sentiments forts pour un membre de notre famille, je sais que je ne fais rien de mal, je le sais! Mon Papa n'arrête pas de me dire qu'elle va faire de grandes et belles choses, pour Oto. Je l'admire. Le problème.. c'est que j'ai l'impression qu'elle me déteste. En fait, elle est bizarre. Un jour, elle est souriante, et elle me donne des conseils (sauf qu'elle ne m'a jamais montré une seule preuve d'affection. Maman m'a dit que c'était normal, parce que Mu' n'était pas du genre à prouver ses sentiments, mais qu'en fait, elle m'aimait beaucoup.) l'autre, elle est froide et ne m'adresse pas un regard. Maman aussi m'a longtemps expliqué que « cela ne signifiait rien, et que le travail de ninja influait beaucoup les kunoichis, suivant leur caractère et leur résistante. D'habitude, je crois toujours Maman, mais là, je savais que quelque chose clochait. Pas qu'elle me mentait, pas ça, Maman dit toujours la vérité. Mais.. que.. en fait, il n'y a pas plus contrôlée niveau humeurs et sentiments que ma grande sœur, et ça je peux te le jurer, journal. (faudrait vraiment que je te trouve un surnom). Bon, Maman m'appelle pour que dîner, à demain, peut-être!
Ko-chan.

{Pages Futilement inutiles}

30 Septembre
(Le Ninja remarque que l'encre à coulé et qu'il est très difficile de distinguer ce qu'il est écrit sur la page)

Cher journal,

Mutsumi vient de m'annoncer une chose horrible; …. (mots rayés avec frénésie) je ne trouve pas la force de te le dire. Je sens que j'ai très envie de m'endormir à tout jamais, comme quand tu es très énervé ou très triste. J'ai envie de tuer les gens de Konoha.
Je m'en vais faire une sieste, peut-être que je pourrai tout te dire ensuite.
(plusieurs espaces de blanc)

On appelle ça la mort.
Je le savais, que ça existait, mais ressentir la douleur en face, quand ça te concerne toi, et pas quelqu'un d'autre.. J'ai mal. Je vais aller voir Mutsumi. Elle aussi a besoin de réconfort. Et puis, elle les a connu plus que moi. J'ai une envie très très forte de jurer; Bande de cons, Konoha!! (Ne le répète surtout pas à Mutsumi, je n'ai jamais prononcé de gros mots en sa présence)
(plusieurs espaces de blanc)

Je vais très mal, journal. Mutsumi m'a dit des choses très méchantes. Tellement méchantes, que je n'ose pas le répéter. Je n'ai rien dit, elle me fait vraiment trop peur. Elle m'a dit que j'étais une erreur de la nature, que tout ça c'est de ma faute.. Ma faute de quoi? Oh, cher journal, si tu savais combien je n'aurais jamais voulu être née, tant la douleur qui me traverse en cet instant me happe.

Horrible.

Surtout que, quand je me suis enfermée dans les toilettes pour pleurer, j'ai senti quelque chose couler dans ma culotte, et j'ai eu très chaud. J'avais trop peur de regarder ce que c'était, au début, mais ma curiosité l'a emportée et j'ai.. en fait.. c'était du sang. Mutsumi avait raison, j'étais une erreur de la nature. Il était impossible autrement. Sinon, ce n'est pas du sang que j'aurais du trouver sur ma culotte, je n'aurai pas dû avoir si mal au ventre. Je ne sais même pas ce que c'est. Je sais que dans de telles situations, c'est à ma maman que j'aurai dû parler... (à cet endroit, le papier gondole)

Mais je ne peux pas aller voir Mutsumi. Elle me fait trop peur.

A suivre } }

Invité

{_Read my mind :

Taijutsu:

Shishi rendan
Coup concentrés
Kage buyou (feuille morte)
Konoha Gouriki Senpuu
Shikyaku no jutsu

Ninjutsu:
|> KATON-
Hossenka No Jutsu - Technique de la balzamine
Kasumi Enbe No Jutsu - Danse du brouillard brûlant
Haisekishou - Technique du nuage cendré
Fire Punch/Kick
Ryuuka no Jutsu

|> SUITON
Daibakufu no Jutsu
Shirou no Jutsu
Mizu Bunshin no Jutsu
Kiri Gakure no jutsu

Genjutsu:

Bunshin No Justu
Henge No Jutsu
Kawana No Jutsu
Kasumi Juusha No Jutsu
Kage Shuriken no Jutsu
Narakumi no Jutsu

Dojutsu:
//

Kuchiyose:

Fuuin
Serpent
Gofuu Kekkai

Approuvé par: (Pour le Staff)

{_ Free Fake Reality Show :

{Parce que j'aime ces parties de fiches parfaitement inutiles que j'en rajoute une hihi..}

P

Â

S

C

E

O

Q

~~Koko-chan and Koko-chan, for Aïko~~

NOTE: Je sais que ça fait pas du tout ordonné mais la suite de l'histoire sera postée dans les prochains postes >_< Bon courage à la personne qui va tout lire <3

Bon retour sur Kimitsu. x)
Etrange, tu me demande de te supprimer, puis tu revient. ._.

En tout cas, bonne chance pour la suite de ta fiche et n'hésite pas à up quand tu auras finis. x)

Tu en es ou?

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